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Pour sa tournée Cowboy Carter Tour, Beyonce fait de chaque concert un rendez-vous mode, en portant des créations de maisons prestigieuses comme Versace, Mugler ou Loewe.
Troisième et dernière date parisienne : Beyonce a enflammé une ultime fois la scène du Stade de France ce dimanche 22 juin. Et comme depuis le début du «Cowboy Carter Tour», ce n’est pas qu’un concert : c’est un véritable défilé de mode. Des cowgirls en cuissardes argentées, des chapeaux western dignes des red carpets, des silhouettes futuristes signées Mugler, Versace ou Loewe… Depuis jeudi 19 juin, Beyonce a transformé Paris en Fashion Week à son image. Le Stade de France s’est mué en podium XXL, où la reine de la pop revisite l’imaginaire western à coups de looks couture millimétrés. Car au-delà de la performance musicale, ce sont bien ses tenues qui affolent la toile : chaque concert devient un événement mode à part entière. Shiona Turini, styliste fidèle de la chanteuse, orchestre cette démonstration visuelle en collaboration avec des maisons aussi prestigieuses que Schiaparelli, Maison Margiela, Burberry ou Stella McCartney. Pour Ancré Magazine, cette tournée est tout simplement «la Fashion Week de Beyonce». Et il suffit de faire défiler les hashtags du moment pour s’en rendre compte : les fans analysent chaque tenue, chaque détail, chaque silhouette dévoilée sur scène. Si la setlist séduit les fans de la première heure, c’est bien le cowboycore version Beyonce qui électrise les foules : une garde-robe pensée comme un manifeste mode, entre rodéo futuriste et gala de haute couture. Bottes à strass, corsets en jean, vestes à franges et robes sculpturales… Chaque apparition de la chanteuse est une nouvelle masterclass stylistique. Avec Cowboy Carter, Beyonce peaufine une stratégie qu’elle avait déjà amorcée avec le «Renaissance World Tour» : faire de ses concerts un levier de storytelling puissant, où la musique rencontre la mode, l’image, le branding. Ici, pas besoin de clips pour promouvoir l’album : la scène suffit. Comme le note Vanity Fair, «Beyonce n’endosse pas le costume de cowgirl, elle le redessine avec les plus grandes maisons de mode».
Un coup de projecteur planétaire pour les griffes
Et les marques en raffolent. Versace, Levi’s, Mugler, Balmain… Toutes veulent une place sur ce terrain de jeu aux millions de spectateurs. Beyonce ne porte pas, elle propulse. Son influence va bien au-delà du simple partenariat : elle co-crée, collabore, inspire. En 2023 déjà, elle s’associait à Olivier Rousteing pour «Renaissance Couture», une collection Balmain de 16 tenues correspondant aux 16 titres de son album. Autre preuve de son pouvoir d’impact : Levi’s dont Beyonce est l’égérie depuis septembre dernier. Le titre Levii’s Jeans, extrait de Cowboy Carter, a suffi à faire bondir les ventes : +250 % de visites sur le site, +20 % de fréquentation en boutique, +20 % en Bourse… et ce, sans aucun spot télévisé. Selon Launchmetrics, la campagne associée à Beyonce a généré 5 millions de dollars de valeur d’impact média en seulement 48 heures. Aujourd’hui, Beyonce est plus qu’une artiste : c’est une force économique, une muse qui fait vendre. Pas étonnant que les créateurs se bousculent pour la voir enfiler leurs pièces. Avec elle, une nouvelle forme de mode a émergé : la fandom fashion. Ici, les fans n’achètent pas seulement des billets. Ils achètent les looks. Résultat ? Chaque apparition de la chanteuse propulse créateurs Etsy, joailliers indépendants ou marques confidentielles sous les projecteurs. Comme lors du «Renaissance Tour», où les ventes de bijoux argentés ont explosé de 1836% sur TikTok dans la foulée de ses tenues de scène. De Paris à Los Angeles, en passant par Londres et Berlin, chaque concert du «Cowboy Carter Tour» devient un défilé nomade, à l’esthétique calibrée, pensé pour frapper les esprits et faire briller les marques.
Elle.fr
L’article Beyonce Cowboy Carter Tour : Pas qu’une tournée, c’est aussi un puissant défilé de mode est apparu en premier sur Lequotidien - Journal d'information Générale.